Le Néodyme se retrouve dans de nombreux appareils électroniques et même dans les moteurs de voitures hybrides mais comme la plupart des métaux qui composent ces appareils, ils sont extraits de ressources rares et non renouvelables. Une méthode développée par une équipe de scientifiques américains de l’Université de Penn State pourrait faire d’une pierre deux coups, précise le site journalmetro.com.
Les chercheurs ont broyé de la peau de tomate et de l’épi de maïs, avant de la mélanger à de la pulpe de bois et du papier de coton en petits morceaux avant de les tremper dans l’eau. L’introduction de micro produit et de nanoparticules a ensuite provoqué une réaction chimique, activant le processus de séparation nécessaire à l’extraction d’échantillons de néodyme. Si cette méthode est déployée à grande échelle, les chercheurs pensent qu’elle pourrait à la fois réduire les déchets électroniques.