La jeunesse est bel et bien l’avenir de toute nation. C’est un fait que nul ne peut nier, ni même discuter. Conscient de cette vérité inéluctable, le président Abdel-Fattah Al-Sissi a fait de la formation de la jeunesse sa ligne d’action. Leur bâtir un avenir meilleur est un objectif sacro-saint. C’est pour cela qu’une multitude de méga-projets est mise en place de sorte à garantir que cette jeunesse puisse gérer un pays moderne, puissant et apte à attirer de nouveaux investissements.

La liste des méga-projets prometteurs- qui annoncent déjà la deuxième République est exhaustive, aucun article, ni même chapitre de livre ne peut les recenser. Nous pouvons toutefois citer entre autres les projets de modernisation des ports, la Nouvelle capitale administrative, les universités privées, la Zone Franche du Canal de Suez, les nouvelles usines et fermes, etc.

Tous ces projets permettent d’abord de faire de l’Egypte un Etat puissant, indépendant et capable de faire face à tous les défis.

De même, ils permettent de créer des opportunités d’emploi absorbant une main-d’œuvre jeune et prête à contribuer à bâtir l’avenir du pays. Une opération gagnant-gagnant que nul ne peut nier.

Pour la première fois dans l’histoire de l’Egypte, la formation de jeunes cadres préoccupent les plus hautes autorités. C’est dans cette veine que l’Académie nationale de formation des cadres offre constamment des opportunités à la jeunesse. Veillant à former de jeunes leaders efficaces, elle rend un service majeur à la société entière.

Qui pourrait oublier qu’à l’ère pré coronavirus les forums de jeunes ou de la jeunesse sont tenus annuellement dans plusieurs villes dont le Caire, Assouan, Charm El-Cheikh et Ismaïlia.

Peut importe le thème, l’idée ou le lieu : il y avait toujours des traits communs et inchangeables : prêter audition aux jeunes, connaître leurs défis et problèmes, trouver des solutions qui leur conviennent, adapter la société à leurs rêves, rendre hommage aux plus talentueux, créer un lien indéfectible entre la jeunesse, notamment africaine.

Tout cela démontre sans aucun doute que nous sommes à l’heure de la jeunesse. Et, l’heure sonne pour annoncer uniquement des beaux jours !