Par : Ghada El Wakil
Premier Volet Pour un concert hors du commun, en un lieu hors du commun, il fallait une voix hors du commun. Le temps d’un concert divin , la jeune soprano égyptienne Amira Selim a communiqué avec le passé, dans un présent très réel, ouvrant les portails d’un glorieux futur. Une présence extraordinaire sur scène, la nouvelle Diva de notre pays, a su capturer l’essence du concert de la Parade des Momies Royales vers le nouveau Musée des Civilisations au Caire. Sa voix surentraînée nous a captivés ! L’ode à la grande Isis , en langue égyptienne ancienne , sur fond de musique intelligemment composée par H. Nazih , la direcd’un chef et sous tion d’orchestre de rêve , Maestro Nader Abbassi , Amira Selim fondait dans le décor .. dans la mélodie , … dans le temps. Un port de reine, et une robe d’époque aux couleurs du royaume ancien, la princesse du chant nous offrit une performance époustouflante. Sa grâce, combinée à la force de sa voix nous laissèrent béats. Fille de l’illustre pianiste égyptienne Marcelle Matta , et du grand peintre Ahmed Fouad Selim , Amira , petite enfant , rêvait de la scène , de la musique et des couleurs. Quand son père lui offrit le disque révélateur – Requiem de Mozart – elle sut ! Elle se dirigea vers le chant. Elle devint l’élève de ….. en Italie, puis au Caire . Aujourd’hui elle fascine le monde entier par sa grâce et son talent inouï. Amira Selim la Diva de l’Égypte. Une voix éternelle. À suivre….