Les examens du bac égyptien ont commencé le lundi 12 juin. Lundi et mardi 12 et 13 juin, étaient consacrés aux épreuves non inclues dans le total des notes, la religion, éducation patriotique et économie et statistiques. Le 18 juin prochain commenceront les épreuves inclues dans le total, en tête desquelles la langue arabe.
Dr Reda Hegazy, ministre de l’Éducation et de l’Enseignement technique et responsable des examens secondaires généraux, avait tenu une réunion, avant le début des examens, avec les directeurs des directions pédagogiques et les responsables des commissions d’examen dans tous les gouvernorats, via visioconférence afin de réviser les préparatifs et consignes des examens du secondaire de l’année scolaire 2022/2023, et veiller au bon déroulement et à la régularité des examens, qui ont commencé le lundi 12 juin, selon un communiqué de presse publié par le ministère.
Dr Hegazy a indiqué que le ministère a pris de nombreuses mesures pour le système d’examen afin que chaque élève puisse exercer son droit, dans l’optique de réaliser le principe de justice, d’égalité des chances et de transparence. Le ministre a rassuré que des mesures strictes ont été prises pour empêcher la tricherie, soulignant que les commissions dont il était prouvé
qu’elles n’avaient pas été trompées seraient récompensées et que les commissions qui se seraient révélées avoir été trompées seraient tenues pour responsable.
Le ministre a déclaré que les étudiants qui passent l’examen sont tous nos enfants, appelant les observateurs à la nécessité de la retenue et de la responsabilité pendant le déroulement des examens et à travailler pour apporter le calme au sein des commissions et ce afin de préserver l’intérêt de nos étudiants, souhaitant du succès à tous les élèves. Le ministre a également confirmé que les examens du Bac sont une mission nationale qui a pour objectif de servir nos élèves, appelant ainsi les directions pédagogiques et les responsables des commissions à la nécessité de respecter les consignes de contrôle des examens annoncées par le ministère concernant la tenue de l’examen, en insistant sur la prévention des tricheries de toutes sortes au sein des commissions, et de ne pas transgresser contre ceux qui enfreignent cela et de les traiter avec sagesse et calme, pour que la discipline règne. Le ministre a souligné qu’il fallait veiller à ce que les étudiants entrent dans les salles d’examens sans aucun appareil électronique, tel que des téléphones portables, des écouteurs, des montres intelligentes ou électroniques, et même les contrôleurs ne sont pas tenus à y entrer avec des téléphones portables, informant les élèves que la possession d’un téléphone portable est une violation même s’il est fermé, outre la nécessité d’utiliser le stick
électronique pour inspection dans les cas suivants : lors de l’entrée des élèves, au sein des sous-commissions de circulation avant la distribution des fiches d’examen et mise au point sur les disques, une demi-heure après le début de l’examen sans affecter la discipline du processus d’examen. Le ministre a également souligné la nécessité de veiller à ce que l’élève enregistre correctement leurs données sur la feuille de réponses (la feuille à bulles) (et le livret de questions-réponses à développement), et que les cases indiquant les numéros de séance soient correctement ombrées, les observateurs les examinent et ensuite signent la validité des données.
Le ministre a également insisté auprès des responsables des commissions de stipuler aux élèves que les réponses ne sont prises en comptée que dans la feuille de réponse, indiquant que toute réponse hors de ces feuilles ne sera pas comptée. Le ministre a ordonné de ne pas garder les livrets de questions pour les absents, et de les remettre au responsable du comité, soulignant que l’élève est tenu de remettre le questionnaire à la fin de l’examen, et que les contrôleurs ne puissent pas les récupérer de quelque manière que ce soit, sauf à la fin de l’épreuve.