De nombreuses figures égyptiennes ont laissé
un précieux héritage dans divers domaines. Que ce soit en sciences, en
intellect ou en littérature. Ces personnalités emblématiques avaient tellement
impacté le cours d’histoire du fait de leurs contributions méritoires qu’elles
s’étaient attiré l’animosité de certaines entités rivales. Ces dernières ont
alors agi de sorte à mettre fin à leur histoire, en leur ôtant la vie. Les fins
tragiques dont elles étaient victimes illustrent la dure réalité des rivalités
et des luttes de pouvoir qui marque éternellement l’histoire de l’Humanité.
Dans ce reportage, Le Progrès Egyptien vous
présente quelques-uns de ces personnages éminents dont le nom continue de
retentir dans les sphères scientifiques et littéraires.
Dr Samir Naguib
Dr Samir Naguib, un scientifique nucléaire égyptien. Il est l’un des pionniers de la jeune génération de scientifiques nucléaires arabes. Il obtint son diplôme très jeune de la Faculté des sciences de l’Université du Caire et poursuivit ses recherches scientifiques sur l’atome.
Il a été nommé aux États-Unis d’Amérique pour une mission et a travaillé sous la supervision de professeurs de physique nucléaire et de physique alors qu’il n’avait que trente-trois ans.
Il a fait preuve d’un génie distingué au cours de ses recherches, qu’il a préparées au milieu des années soixante – lors de sa mission en Amérique – au point qu’il a terminé la préparation de sa thèse un an avant la date indiquée.
L’Université américaine du Détroit l’a choisi pour participer à un concours qui permettra de décrocher le poste de professeur adjoint en sciences naturelles, parmi plus de deux cents scientifiques nucléaires de diverses nationalités.
Il commença ses recherches universitaires, qui suscitèrent l’admiration de nombreux Américains et suscitèrent l’inquiétude des sionistes et des groupes prosionistes en Amérique. Comme d’habitude, il commença à recevoir des offres financières pour développer ses recherches. Il sentit que son pays et sa patrie avaient besoin de lui, et il était déterminé à retourner en Egypte le 13 août 1967. Il réussit à faire une réservation dans un vol à destination du Caire le 13 août 1967.
En conséquence, de nombreuses autorités américaines l’ont approché pour lui demander de ne pas voyager et lui ont proposé de multiples tentations scientifiques et matérielles pour qu’il reste aux États-Unis, mais il a rejeté toutes les offres qui lui ont été proposées.
Il meurt dans un mystérieux accident en août 1967 avant de retourner dans son pays natal.
Dr Nabil Al-Qalini
L’histoire de ce scientifique est très étrange. Il a disparu depuis 1975 jusqu’à aujourd’hui. Le scientifique a été envoyé par la Faculté des Sciences de l’Université du Caire en Tchécoslovaquie pour poursuivre ses recherches et études sur l’atome a révélé un grand génie scientifique dont tous les journaux tchèques ont parlé.
Puis il a obtenu un doctorat en atome à l’Université de Prague, et le matin du lundi 27/01/1975, le téléphone a sonné dans l’appartement où résidait le Dr Al-Qalini. Après l’appel, le médecin est parti et n’est plus revenu jusqu’à présent. Lorsque les communications du docteur avec la Faculté des sciences de l’Université du Caire ont été interrompues, la faculté s’est rendue à l’Université tchèque pour s’enquérir du sort du Dr Nabil, dont le génie faisait parler de lui dans la presse tchèque et dans les cercles scientifiques internationaux. Après lui avoir envoyé plusieurs messages urgents de la Faculté des sciences de l’Université du Caire sans suite, l’Université tchèque a signalé sa disparition. Suite à un coup de fil, le Dr Al-Qalini a quitté son domicile et n’est plus revenu.
Ce qui est étrange, c’est que l’Université tchèque a eu connaissance de l’appel téléphonique, alors où l’a-t-elle appris ? Avez-vous contacté la police tchèque ? Si la police en a informé l’administration de l’université tchèque, comment la police l’a-t-elle su ? D’après les circonstances et les faits de la disparition, nous pensons qu’« Al-Qalini » a été attiré dans une embuscade par le Mossad, après quoi il a été soit tué, soit soumis à ce qu’on appelle un lavage de cerveau afin de détruire toutes les études scientifiques avancées dans son esprit.
Dr Salwa Habib
Dr Salwa Habib, professeur à l’Institut d’études africaines, était l’une des opposantes les plus virulentes au projet sioniste. Elle a concentré son attention sur la révélation des plans des dirigeants israéliens envers le continent africain, et peut-être sur son dernier livre, “La Pénétration Sioniste en Afrique”, qui était sur le point d’être publié, était une justification suffisante pour se débarrasser d’elle, car son corps a été retrouvé alors qu’elle était en vie. Elle a été massacrée dans son appartement et les efforts des détectives n’ont pas permis de découvrir la vérité sur les auteurs de l’incident, d’autant que Salwa Habib Gait est un modèle plus proche de celui du Dr Jamal Hamdan en ce qui concerne l’isolement et le petit nombre de personnes qui la fréquentaient.
Beaucoup ont tenté de mettre de côté le cas de son assassinat et de l’inclure dans le contexte d’autres crimes, ce qui a été nié par la police égyptienne, de sorte que le mystère de sa mort reste déroutant, d’autant plus qu’elle était loin de toute rivalité personnelle et son assassinat n’était pas destiné à être voilé, mais si l’on revient à ses archives scientifiques, on trouvera pas moins d’une trentaine d’études sur l’intervention sioniste dans les pays africains aux niveaux politique, économique et social, et le témoignage de chacun a été que ce point d’étude était son terrain de jeu dans lequel personne ne pouvait rivaliser avec lui, ce qui nous amène, ainsi que tout le monde, à pointer du doigt ((Israël).
Le récent ouvrage du Dr Salwa Habib qui avait pour titre « L’infiltration sioniste en Afrique » et qui était sur le point d’être publié, était une justification suffisante pour se débarrasser d’elle. Le Dr Salwa Habib, professeur à l’Institut d’études africaines, a été retrouvée massacrée dans son appartement, et les efforts des détectives n’ont pas réussi à faire la lumière sur les auteurs du crime, de sorte que le mystère de sa mort demeure inconnu, d’autant plus qu’elle était loin de toute rivalité personnelle.