Les secrets du cerveau féminin
On sait depuis longtemps que les hormones (la testostérone chez l’homme et les œstrogènes chez la femme) affectent notre comportement et notre perception du monde. Mais il aura fallu attendre les progrès de la science et particulièrement de l’imagerie cérébrale pour prouver que le cerveau – cet organe essentiel – a un sexe. N’en déplaise à certains, il existe bel et bien un cerveau féminin. Pourquoi les femmes sont-elles plus intuitives et plus douées pour la communication, plus sujettes aux sautes d’humeur, plus soucieuses de leur apparence à l’adolescence et plus préoccupées de leur épanouissement personnel à la ménopause ? Pourquoi ont-elles tendance à éviter les conflits, à ressentir les émotions des autres, à moins penser au sexe que, les hommes ? La réponse à toutes ces questions et bien d’autres encore se situe dans les circuits, la taille de certaines zones et la biochimie de leur cerveau. Anecdotes et cas d’étude à l’appui, ce livre passionnant est un document exceptionnel et d’une importance cruciale dans le débat contemporain sur l’identité humaine, la part de l’inné et de l’acquis, et l’aventure génétique. En révélant les secrets du cerveau féminin, il permet aussi aux hommes et aux femmes de mieux se comprendre, et donc de mieux s’entendre.
L’homme tue et la femme rend fou
La foi et l’obéissance n’étant dissociables dans aucune religion, l’Occident est désormais, plus encore qu’il n’y paraît, un monde d’athées purs et durs. Mais se définir ainsi par la négative n’est pas très éclairant. Car à moins d’avoir perdu la raison, tout homme croit nécessairement en un esprit, c’est-à-dire en une certaine définition du vrai, du bien et du mal. Articulant les fulgurances de René Girard (désir mimétique), de Philippe Muray (festivisme), du collectif Tiqqun (la Jeune-Fille) et de Michel Clouscard (société libérale-libertaire) avec quantité de références bibliques, cet essai iconoclaste révèle un féroce franc-tireur catholique et opère une mise à nu parfaitement sidérante de l’esprit qui gouverne ce qu’il convient d’appeler la Société du Suicide, à savoir le système inventé et promu par l’amour (cathodique) de l’argent en réaction à la défunte Société du Meurtre (nazisme). Toujours clair, incisif et accrocheur, solidement documenté et d’une logique implacable, L’HOMME TUE ET LA FEMME REND FOU se balade dans notre époque (féminisme, art contemporain, vedettariat, sadomasochisme, séries télévisées, rock metal, psychiatrie, séduction, terrorisme, etc.) pour nous dévoiler enfin la construction, le mécanisme et le terminus de l’esprit (mauvais) auquel nous obéissons en nous prenant pour des Lumières.
L homme idéal : 50 leçons pour séduire la femme qui vous plaît
Vous avez déjà vécu la frustration de ne pas savoir aborder une femme qui vous plaît?
Alors vous en conviendrez : savoir séduire est une nécessité.
Depuis 10 ans, c’est même devenu un phénomène de société. Les scientifiques prônent la PNL, les gourous américains ont des phrases à réciter par coeur: quant aux femmes, elles continuent de répéter qu’il suffit d’être gentil.
Problème : en situation, parvenir à trouver son naturel au milieu de tout cela relève de l’exploit.
Et si vous changiez de vie ?
Découvrez dans ce livre des techniques qui ont fait leurs preuves pour:
– acquérir les bons réflexes dans vos interactions sociales (et ne plus les oublier)
-développer la confiance en soi et le style de vie qui feront de vous un homme idéal.
Si vous êtes une femme et que vous n’arrivez pas à attirer l’homme qui vous plaît, alors offrez-lui ce livre. il comprendra le message.
Les philosophes ont généralement deux faces : l’une connue, celle de leur système qu’on pourrait appeler leur endroit, et une moins connue, celle de leurs petits écrits ou pensées éparses ou encore papillotes qu’on pourrait appeler leur envers. Textes en général plus suggestifs, pittoresques et attrayants. Schopenhauer est un maître du genre. D’un côté, le très sérieux philosophe du Monde comme volonté et comme représentation, de l’autre le philosophe drolatique et sarcastique des Parerga et Paralipomena dont l’Essai sur les femmes constitue un morceau de choix.