« Sans doute l’intransigeance éthiopienne à l’égard du dossier du barrage de la Renaissance constitue une violation flagrante du droit et des normes internationaux», a assuré au Progrès Egyptien le général Mohamed Ibrahim, conseiller au Centre de la Pensée égyptienne et des études stratégiques. Et de renchérir que la position éthiopienne adopte toutes les mesures qui pourraient porter atteinte à la sécurité nationale hydrique des deux pays en aval : l’Egypte et le Soudan.
A noter que l’Egypte a soumis l’affaire du Barrage éthiopien Renaissance au Conseil de sécurité qui se réunira demain jeudi 8 juillet autour du Barrage de la Renaissance, le ministre des Affaires étrangères, M. Sameh Choucri est actuellement à New York pour expliquer la position de l’Égypte.