Les femmes représentent la moitié des habitants du monde, donc , la moitié de ses capacités.
C’est pourquoi, l’égalité des sexes, à côté d’être un droit fondamental des droits de l’homme, c’est une nécessité urgente pour réaliser la paix au sein des sociétés.
Lancer les potentialités totales des sociétés, était un défi majeur en Egypte à travers lequel elle a réussi.
Réaliser l’égalité entre l’homme et la femme dans tous les domaines même dans le domaine du sport a été prouvé dans tous les tournois mondiales. Accorder un vif intérêt tout en équipant les femmes des matériaux et de formation les plus nécessaires est un but escompté pour le chef de l’Etat.
Nous ne pouvons alors nier l’intérêt qu’accorde le Président Abdel Fattah Al Sissi au sport féminin pour qu’il se développe de plus en plus. Et les héroïnes égyptiennes de leur part en guise d’estime et d’appréciation de ses efforts inlassables se taillent la part du lion dans la victoire et le succès.Sur ce fait, le ministre de la Jeunesse et des Sports a fait état de la disctinction des joueuses égyptiennes aux Jeux olympiques de Tokyo 2020.
Lors des J-O de Tokyo, on remarque bien cette égalité entre les deux sexes. Pour la première fois dans l’Histoire depuis 125 ans , les JO atteingnent la phase de parité entre joueurs et joueuses. Dans les 11000 athlètes qui se concurrencient, 49% sont des femmes.
Le comité international des olympiades des pays a encouragé pour la première fois la désignation d’un homme et une femme pour brandir le flambeau à la cérémonie d’ouverture des J-OCe qui éblouit est que Hana Gouda , est la petite joueuse qui participe à ces Jeux olympiques.
Pour mieux confirmer que la femme est sur le même pieds d’égalité que l’homme, est que pour la première fois , on a remplacé le président du comité oragnisateur des J-O par une femme suite à ses propos selon lesquels les femmes bavardent plus dans les réunions.
En mars dernier, le réalisateur de la cérémonie d’inauguration a présenté sa résignation après ses déclarations humiliantes sur le surpoids du styliste Naomi Watanabi.
Cette année, l’Egypte participe avec une délégation considérée comme la plus grande dans son histoire. Avec 48 joueuses égyptiennes, selon les chiffres du comité olympique mondilale. Parmi les Egyptiennes participantes dans les J-O de Tokyo, on compte les noms les plus célèbres.
Gianna Farouk
Joueuse de karaté de 26 ans, elle a rejoint l’équipe nationale égyptienne il y a dix ans, et a remporté divers championnats internationaux et continentaux, ainsi que le Championnat du monde à deux reprises.
Taekwondo : Hedaya Malak décroche le bronze
Lentement mais sûrement, la moisson des médailles chez les dames, se poursuit pour l’Afrique à Tokyo dans le cadre de cette 32è édition des Jeux Olympique. Hedaya Malak a remporté à son tour la médaille de bronze chez les moins de 67kg (Taekwondo).Battue en quart de finale, la championne d’Afrique 2016 a pu se consoler avec une médaille de bronze à Tokyo dans sa catégorie (-67kg). Elle a littéralement dominé son adversaire, la Tongienne Malia Maile Paseka par 19-0 au repêchage.
Le duo Hadia Hosni et Doha Hany
Hadia Hosni (photo), 33 ans, a participé aux Jeux olympiques à deux reprises à Pékin 2008 et à Londres 2012.
Elle est la première femme égyptienne et africaine à remporter un match de badminton dans l’histoire des Jeux olympiques, et elle est devenue députée lors de la session en cours. Hadia participe aux Jeux olympiques dans les compétitions de double féminin avec Doha Hany, qui ont toutes deux remporté plus de 20 médailles différentes aux championnats d’Afrique.
Quant à Doha Hany, 24 ans, elle entrera dans l’histoire comme la première joueuse au monde à participer à trois compétitions différentes aux Jeux Olympiques, à savoir le simple, le double féminin et le double mixte.