L’Afrique est un continent prometteur même s’il connaît d’énormes difficultés dues à un passé compliqué ainsi qu’à une crise économique internationale des plus dures. Malgré cela, le continent noir cherche à poursuivre son développement et à réaliser les objectifs de son agenda 2063. Des objectifs qui ne peuvent être réalisés sans une nette évolution des infrastructures. C’est d’ailleurs le thème du sommet de Dakar au Sénégal tenu les 2 et 3 février et qui avait pour objectif de booster la mise en place d’infrastructures, notamment dans les domaines hydriques, électriques en plus de l’aménagement des autoroutes. Tout cela nécessite évidemment des investissements ambitieux et des partenaires internationaux impliqués dans ce long processus.
Evidemment, l’Egypte étant un acteur principal en Afrique et dans le monde a pris part à ce sommet. C’est ce qui a d’ailleurs retenu l’attention des écrans télévisés à l’instar de la chaîne DMC. En effet, la chaîne a surtout mis l’accent sur la participation de l’Egypte et notamment du Premier ministre à cet événement important. Le Premier ministre a prononcé une allocution au nom de l’Egypte dans laquelle il a évoqué l’expérience égyptienne et a partagé avec les frères africains la mise à exécution du plan de développement des infrastructures.
Ce sommet était également une occasion importante pour renforcer les opportunités du secteur privé égyptien de participer à des projets d’infrastructure en Afrique, ainsi que son importance pour présenter les opportunités d’investissement disponibles à la communauté internationale des affaires, en particulier à la lumière de la participation d’un groupe de représentants de banques de développement et d’institutions financières internationales.
A noter que la chaîne a mis l’accent sur le fait que le deuxième sommet de Dakar sur le Financement du développement des infrastructures en Afrique s’est tenu dans la capitale sénégalaise avec au programme 69 projets d’infrastructures d’une valeur de 160 milliards de dollars.
Des chefs de gouvernement africains, la Banque africaine de développement, des institutions de financement du développement et des investisseurs institutionnels s’y étaient retrouvés pour déterminer comment mener ces projets à terme d’ici 2030. L’Agence de développement de l’Union africaine et le gouvernement du Sénégal sont les co-organisateurs du sommet.