L’humain ne pourra pas vivre éternellement. D’après une nouvelle étude, notre espèce aurait une limite biologie située entre 120 et 150 ans.
L’espérance de vie humaine ne pourrait pas être infiniment rallongée. Les progrès de la médecine n’y feront rien, car les maladies liées à l’âge ne sont que des « exécuteurs de la mort », souligne Andrei Gudkov, coauteur d’une étude sur le vieillissement et cofondateur de Genome Protection, une entreprise de biotechnologie spécialisée dans les thérapies anti-âge.
Cette mort préprogrammée est due à « la perte progressive de résilience ». Autrement dit, au vieillissement. Inéluctable. Cette résilience cible la capacité du corps humain à récupérer après un stress. De deux semaines lorsque nous avons 40 ans, elle est étendue à six semaines à 80 ans, en moyenne.