Par Bassam Abdel Samie
Que se passera-t-il demain ? .. Une question renouvelée avec l’accélération des événements sur la planète, après que les catastrophes soient devenues une condition normale dans notre vie quotidienne. Dans les premières pages de notre roman La vie sur la planète, nous voyons des images et des paroles des créateurs de “Bruit de l’avenir”, avec des mots marginaux sur les êtres extraterrestres, en plus de phrases colorées qui racontent l’arrivée de nouveaux collègues dans la population de la planète, que nous appelons « robots ».
Cela coïncide avec l’aggravation des secousses sismiques, des ouragans, des inondations, de la fonte des glaciers, des guerres, des conflits et des troubles, ainsi que la menace d’anéantissement nucléaire, et le projet du milliard d’or pour les habitants de la planète… et d’autres conspirations et projets sataniques , comme si la planète se déplaçait selon la volonté de ses habitants et non selon l’ordre de son Créateur, ce qui n’est pas vrai, toute cette affaire appartient donc à Dieu, avant, après et à chaque instant.
Sur la page de cette année de notre roman « La vie sur la planète », nous nous trouvons face à la tendance du déluge #Al-Aqsa, qui regorge de détails sur l’histoire humaine depuis la nuit des temps… entre un défenseur de ses droits et un autre qui usurpe les droits… entre un meurtrier et un assassiné… entre partisans et opposants… entre un véridique et un menteur, et c’est encore plus laid: crimes et images de destruction que l’homme commet contre son prochain. ” L’histoire se répète… et le vrai gagnant est celui qui a été honnête avec son Seigneur, défendant son droit et non un agresseur contre les autres. S’il est tué, alors il est un martyr.. et s’il est victorieux, c’est avec la grâce de Dieu.
Et ainsi nous marchons jusqu’à la fin, au Jour du Jugement dernier, pour lequel nous nous qualifions à partir du premier moment de départ de ce monde, qui est inconnu de chacun d’entre nous, ce qui nous place tous devant ce moment à chaque instant. Lundi, les agresseurs occupants qui soutiennent la destruction ont exprimé – leur mission permanente dans la vie – envers Gaza et tout détenteur de droits sur la planète. Le Premier ministre de l’entité sioniste a déclaré : Nous changerons le Moyen-Orient. Une déclaration commune aux responsables américains, allemands, britanniques, français et leurs alliés qui déclarent leur soutien ferme, continu et immédiat à Israël.
Nous ne défendons ni n’accusons le Hamas ou tout autre mouvement. C’est une autre histoire. Nous traitons plutôt d’un problème aussi brillant que le soleil, à savoir : un occupant meurtrier qui a usurpé la terre et les lieux saints avec l’approbation internationale et le soutien mondial depuis 1948 en plantant une tumeur cancéreuse dans le corps arabe, « l’entité sioniste » qui extermine et déplace les Palestiniens, et son occupation de certaines parties des pays arabes en 1967, en parallèle d’un travail continu visant l’extermination et le déplacement du peuple palestinien sous de fausses allégations historiques… C’est l’histoire du crime international qui porte le nom d’« État d’Israël ».
Selon un rapport publié par le site Internet « TRT Arabic », sous le titre : « Jérusalem est la ville de la paix et le lieu de visite du Saint Prophète », au cours de sa longue histoire, Jérusalem a été témoin à deux reprises d’incidents de destruction, de siège 23 fois, attaque 52 fois, invasion et perte encore 44 fois, et c’est le site qui a été colonisé par les humains depuis le quatrième millénaire avant JC, ce qui en fait l’une des plus anciennes villes habitées du monde.
Beaucoup parlent des répercussions du « déluge d’Al-Aqsa », ces répercussions consistent à détruire complètement Gaza au bulldozer et à déplacer la bande de Gaza et à éliminer la cause palestinienne, sur la base de ce que les criminels et leurs alliés mettent actuellement en œuvre avec l’intimidation des porte-avions et les dernières technologies militaires.
Ce qui se passe aujourd’hui à Gaza n’est pas nouveau. C’est une approche constante depuis l’aube de l’histoire. L’histoire de Jérusalem, ses massacres, sa trahison, sa défense et sa reconstruction ont été abordées par de nombreux historiens, dont Ibn al-Arabi. dans ses livres “Siraj al-Muridin” et “Les Capitales Min al-Qawasim”, Ibn al-Jawzi dans “Al-Muntazim”. Beaucoup dans “Le début et la fin” et Mujir al- Din al-Hanbali dans « Al Anasse Al Gualil », outre des témoignages documentés rapportés par l’historien américain des civilisations Will Durant dans son livre « The Story of Civilization », d’Ibn al-Atheer dans « Al-Kamil », d’Ibn al-Jawz, dans “Miroir du temps”, et par Ibn Wasil al-Hamawi dans “Mufarij al-Karub fi Akhbar Bani Ayyub”, et par al-Maqrizi dans “L’exhortation hanafie sur les nouvelles des imams fatimides, les successeurs”.
Entre l’analyse de ce que révèle la réalité et sa référence à ce qui est dit dans les cultures religieuses, nous entrons tous sur le chemin du dernier chapitre du récit humain « La vie sur la planète », pour assister à une accélération des leçons au cours de la courte période suivante. Avant de quitter les premières pages du dernier chapitre de notre roman humain, « La vie sur la planète », une pensée m’est venue : Est-ce que vous ne savez pas que tous ceux qui sont sur Terre seront poussière ? C’est la seule réponse certaine que nous avons tous expérimentée et que nous touchons et voyons à chaque instant. ”
Et la voix de la pensée se tut. Alors je lui dis : Tu as raison. Chaque âme va assumer ce qu’elle a fait, et chacun d’entre nous assume ce qu’il a fait”.