Veux-tu être l’homme/la femme de ma vie ? Par cette demande commence toute une histoire soit belle soit écœurante. La relation qui unit le couple aimant est un lien sacré.
Selon le Coran, le mariage est fondé sur “ l’amour et la compassion que Dieu a infusé dans le cœur de l’homme et de la femme afin qu’ils forment un couple ». Chacun rêve d’une histoire d’amour, d’une fête de mariage et d’une nuit de joie. Mais au sein de ces rêves, se trouve les disputes avant-mariage ainsi que les responsabilités de la vie conjugale. Sur tous ces sujets, notre dossier passe en revue les difficultés qui se trouvent tout au long de ce trajet intéressant. Suivez
Le mariage aux mille et une fantaisies!!
Par Walaa Al-Assrah
Qui dit cérémonie de mariage aujourd’hui, dit dépenses et disputes à la fois. C’est vrai que la cérémonie de mariage est la dernière tape qui lie les deux cœurs des conjoints mais avant d’arriver au jour-J, c’est vraiment, le calvaire. Des concepts dernier cri ont fait leur apparition. Et les rituels d’antan sont bel et bien révolus. La folie des grandeurs prend parfois le pas sur les sentiments dans l’organisation d’un mariage. Si les mariés savaient que ces disputes pouvaient annuler le mariage, ils ne penseraient plus de cette façon. La ménagère de trente-six mille pièces… ne garantit pas le bonheur du ménage, surtout s’il croule sous les dettes.
Toute une liste de nouveaux concepts et de tendances dernier cri de décoration mariage importés de l’étranger qui rendent la facture excessivement salée. En quête de singularité, les futurs conjoints veulent organiser un mariage à leur image. Lieux insolites, idées excentriques et décors spécialement conçus pour l’événement, toutes les folies sont permises pour rendre ce jour inoubliable. D’ici, éclatent les disputes.
D’ordinaire infusé de romantisme, le mariage, devenu compétition. Entre les dépenses coutumières – la dot, les bijoux en or – et la cérémonie, les jeunes époux et leurs familles peuvent dépenser des dizaines de milliers de LE. La cérémonie de mariage figure parmi les thèmes les plus épineux pendant les préparatifs. Car suivant la mode et les trends sur les réseaux sociaux cela nécessite beaucoup d’argent. D’après une planificatrice de mariage, les jeunes filles se soucient du moindre détail de l’événement. Ce qui n’était pas le cas jadis. Les célébrations de mariage font partie aujourd’hui des trends des réseaux sociaux. Plus on suit la mode, plus on est un couple imaginaire.
Au-delà de la forme, de la couleur ou du style, une question vous taraude quant au choix de votre robe de mariée : faut-il la louer, l’acheter, la commander à une couturière ? Une nouvelle dispute qui s’ajoute à la liste des querelles journalières au sein du couple. La mère de la nouvelle mariée veut bien sûr acheter la robe de mariage, le prétendant veut louer la robe puisque c’est une seule journée et elle ne pourra pas la porter une autre fois. Pourquoi, dépenser cette somme somptueuse sur une robe qui se porte seulement quelques heures pour satisfaire uniquement aux invités et suivre les traditions !… Une logique mérité d’être respectée. La nouvelle mariée a un autre point de vue, Le premier avantage d’acheter sa robe de mariée est de s’offrir une tenue neuve que seule vous porterez et que vous pourrez conserver toute votre vie ! Entre le oui et le non, mille et une disputes ont lieu et ça finira par imposer l’opinion de celui qui est plus puissant.
On le sait, la belle-famille, notamment la belle-mère, est souvent source de conflits. Et je suis au regret de te dire que, durant les préparatifs mariage, ça risque de s’amplifier !
Ils veulent financer eux-mêmes notre mariage ! Tu as décidé, avec ton groom, de financer toi-même ton mariage, mais ça ne semble pas au goût de tes beaux-parents, qui marient leur fils unique ! Désabusés, ils ne comprennent pas que, malgré vos 30 ans respectifs et vos propres salaires, vous refusiez leur aide financière !!
Ils veulent ajouter plus de 50 personnes à notre liste d’invités ! Les amis d’enfance, les copines du club de bridge, les potes des marches populaires… Ils sont tous sur la liste que ta belle-mère t’a transmise en te disant « Tiens, voici quelques amis que nous voudrions associer à votre mariage ! »
Un autre thème qui suscite la colère est celui des invités. Qui offrira à ses invités la cérémonie la plus ambitieuse, la plus festive et la plus “instagrammable” ? C’est la question qui anime les futures mariées. Cela est une question brûleuse ! Elle est liée aussi au budget. Le couple doit préciser le nombre d’invités et choisir la salle qui convient à ce nombre. La famille de la fille veut 100 tables et la famille du prétendant veulent diminuer ce nombre houleux d’invités. Entre celle- ci et celui-là, une multitude de discussions ont lieu.
Vient alors la grande dispute de la lune de miel et de ses préparatifs. La nouvelle mariée veut que ses noces soient paradisiaques peu importe le coût. Imitant ainsi sa cousine qui a passé ses noces en Asie. Le prétendant veut limiter un peu ses dépenses surtout qu’il vient de payer si cher la cérémonie de mariage. Malheureusement, le couple ne sent plus le vrai sens d’une lune de miel. Celui de passer un bon temps avec votre moitié à l’autre bout du monde pour découvrir des merveilles.
Confrontées aux difficultés économiques, certaines familles cherchent la sécurité du logement pour leurs filles, d’autres s’affranchissent de la rigueur des traditions, d’autres encore font tout pour rester en accord avec les coutumes des anciens… ou simplement pour garder la face. Reste que l’appartement, la télévision, la parabole, le climatiseur sont devenus des nécessités. Tout cela fait perdre au mariage son vrai sens celui d’une union sacrée.
La robe de mariée semble ne plus fasciner
Par Ingi Amr
Jadis le rêve de toutes les filles était de planifier ses noces, de porter la robe de mariée, de lancer sa gerbe… Il paraît que le rêve a changé. La robe de mariée, en Egypte connue sous le nom « la robe blanche » semble ne plus fasciner les jeunes filles. Celles-ci cherchent plutôt à obtenir un bon emploi et à devenir financièrement indépendantes. La quête de la liberté s’impose chez les jeunes filles plus fort que l’idée de porter une robe de mariée.
Le bouquet à ne plus attraper
Dans le temps, en assistant à des noces, on voyait toutes les jeunes filles invitées se rassembler près de la jeune mariée lorsqu’elle est sur le point de lancer son bouquet de fleurs. Maintenant, l’enthousiasme envers cette tradition n’est pas le même. L’on ne trouve pas toutes les filles intéressées par le fait d’attraper le bouquet. Comme si elles cherchaient à l’échapper.
Mais d’où vient cette habitude ? Lancer le bouquet fait partie des rites du mariage. En effet, les avis sont partagés sur l’origine de cette coutume. Certains affirment que le lancer de bouquet est une création française. D’autres attestent que la coutume est d’origine anglo-saxonne. Quoi qu’il en soit, l’origine, la légende veut que, se considérant comme très chanceuse, la personne qui attrape le bouquet est la prochaine à se marier.
La gamophobie
C’est vrai que certains rejettent l’idée de se marier pour ne pas perdre leur liberté et assumer tant de fardeaux, d’autre redoutent l’idée. Le fait d’être uni avec une personne pour la vie, engendre, chez certains, un sentiment incontrôlable de doute, d’angoisse et d’appréhension. Ils ont peur de l’engagement. Il ne s’agit pas d’un phénomène rare ou bizarre. Ce ressenti porte un nom : la gamophobie.
La vie change après le mariage. C’est une décision qui engendrent des changements et des responsabilités qui peuvent être à l’origine de cette crainte, ressentie par de nombreuses personnes.
De point de vue psychologique, la gamophobie s’explique principalement par le fait que certaines personnes craignent de se sentir liées et contrôlées. Elles sentent que leur vie ne dépendra plus d’elles. D’autres sont accablés par l’idée qu’il est toujours possible de trouver une meilleure personne. Une autre question est à noter : l’hypégiaphobie. C’est la peur de la responsabilité. Les personnes qui souffrent de ce trouble ressentent une angoisse intense envers les responsabilités. Ce sentiment peut être si violent qu’il se transforme parfois en une vraie crise d’angoisse.
Il faut apprendre à analyser les sources de la peur, pour pouvoir y faire face, et si possible y remédier. Être conscient du problème, de ses causes aide à le comprendre et à essayer d’empêcher cette peur de s’installer.
D’ailleurs, la peur de se marier existe chez les hommes et chez les femmes mais les causes sont différentes. Pour les hommes la dimension économique joue un rôle important. Le caractère coûteux lié aux préparatifs du mariage et au fardeau financier du ménage n’est point négligeable. Outre la question du manque de liberté qui pourrait être synonyme de se marier.
Pour les femmes, c’est différent. La peur des responsabilités énormes qui pèseront sur la mariée : ménage, enfants… La peur de la rupture à un moment donné. Le choix à faire, parfois, entre travail et mariage. Chacun a ses raisons, mais la peur reste la même.
Renoncer au mariage
Ce ne serait point exagéré de dire qu’un grand nombre de jeunes filles renoncent à l’idée du mariage ou au moins désirent remettre cette décision jusqu’à réaliser d’autres objectifs. Il y a environ deux décennies, les choses n’étaient pas les mêmes. Les filles pensaient à se marier après avoir terminé leurs études universitaires. Une large tranche de filles jugeait que le mariage était un objectif en soi et pas besoin de se fatiguer au travail. Les conditions ont changé. Les jeunes filles se fixent, lors des années d’études universitaires, des objectifs liés à une carrière de pointe, un emploi bien payé, une indépendance financière, des économies à faire, des pays à visiter, des voyages à planifier.
Il ne s’agit point de rencontrer son prince charmant ni de porter la fameuse robe de mariées. La vision à tout à fait changé. Une fois obtenant un emploi, la jeune fille commence à fixer davantage d’objectifs. Le fait de laisser une carrière, une vie sans responsabilités pour se limiter à faire le ménage et prendre soins d’enfants n’est sans doute pas satisfaisant pour les jeunes filles.
Eve mise à part, il est de même à noter que les jeunes hommes ne sont pas non plus favorables à l’idée de se marier. Le mariage devenant très coûteux, l’idée de rester « single » figure comme l’option la plus facile. Renoncer au mariage commence à devenir un phénomène aussi alarmant que celui de la hausse du taux de divorce.
La dot et les bijoux, une arme à double tranchant ?
Par Dr Nesrine Choucri
La dot et les bijoux sont deux éléments incontournables du mariage à la sauce égyptienne. Leur valeur peut être différente d’une famille à l’autre, d’une personne à l’autre. Si la dot est encouragée par la religion islamique, elle ne doit pas être élevée ni trop pesante sur les budgets. Pourtant, la majorité des familles y voient une façon d’estimer et de respecter leur fille.
Alors, dans certaines familles, quelques-uns réclament l’équivalent d’un quart de kilo, voire même un demi-kilo d’or.
D’autres appartenant à la classe moyenne ou aisée réclament des bijoux en diamant, surtout une belle bague avec une grosse pierre toute luisante et originale. C’est ce qu’on appelle dans le dialecte égyptien « la chabka ». Et, la mariée doit la montrer à ses amis, comme à ses ennemis pour dire à tous qu’elle est aussi singulière et particulière que les bijoux de son mariage.
D’autres personnes ont une vision différente : la chabka est probablement l’unique cadeau de valeurs que la femme aura tout au long du mariage. D’où, ils y accordent une attention particulière. Évidemment, dans certains cas, les époux vendent les bijoux du mariage tout de suite après pour payer leurs dettes de mariage ou parce qu’ils passent par un problème financier.
Aujourd’hui, de nombreuses voix réclament de les réduire à un petit cadeau symbolique et simpliste pour contrer la hausse des prix et la cherté de la vie. Il y a même ceux qui proposent de remplacer l’or et les diamants pour un autre métal précieux, mais moins cher : l’argent.
Jusqu’à présent, cela n’a pas été appliqué, mais cette idée aura certes une véritable résistance surtout dans les milieux populaires et ruraux.
Et, la dot ? Historiquement, la dot en Égypte et dans le monde islamique était une somme d’argent que l’homme remettait à la femme comme cadeau. Avec le temps et les problèmes d’argent, elle est devenue une somme très limitée que le mari verse à la famille de la mariée pour acheter les meubles et les appareils électroménagers. Malheureusement, le mari fait des demandes extravagantes au point que la famille de la mariée doit verser au minimum une somme similaire. Parfois, ceux-ci sont obligés de verser le double, le triple ou encore plus.
Autant de demandes qui sont parfois illogiques au point que l’on dira que c’est le mariage d’une princesse qui habite l’un des palais des mille et une nuits. Finalement, la mariée n’a plus ces droits historiques et chaque partie se trouve obligée de payer des sommes considérables et énormes qui rendent le mariage une affaire très difficile sans que chaque partie ait son droit.
Dot et bijoux poussent vraiment beaucoup d’entre nous à reconsidérer l’institution du mariage. S’agit-il de faire une parade de richesse, de bijoux, d’argent ? Ou plutôt de cohabiter chaleureusement et sans problèmes.
« Al-Qaima », est-elle une tempête dans un verre d’eau ?
Par Dalia Hamam
Les mois derniers, un état de polémique dont la société égyptienne a été témoigné à propos de l’annulation d’« Al-Qiama » autrement dit la liste des meubles et des appareils électroménagers. Ce topic, qui est une tradition largement suivie dans la société égyptienne le moment du mariage, est un document signé par le marié avant le mariage reconnaissant la propriété de la mariée sur l’équipement de l’appartement conjugal, y compris les meubles, les appareils électriques et les ustensiles de cuisine.
Pour certaines, c’est une garantie du droit de l’épouse à la lumière des conditions économiques qui poussent la mariée à participer à l’ameublement de son logement. « Al-Qaima », n’est basé sur un fond légal, contrairement à la dot qui est légale. Mais avec les conditions économiques difficiles et le coût élevé du mariage, les familles ont commencé il y a quelques années à contribuer avec le mari pour réduire les frais de mariage.
Dans ce contexte, et contrairement à l’habitude, de nombreuses jeunes filles ont salué l’annulation de ce document, à condition que le marié s’engage à équiper toute la maison et à verser une dot appropriée.
Pour elles, cela diminue le phénomène d’exagération dans l’équipement et peux faciliter les étapes du mariage.
Aménager le foyer ou plutôt une nouvelle vie !
Par Ghada Choucri
Quand deux personnes prennent la décision de mener une vie ensemble, bien entendu, elles pensent à de nombreuses questions. L’une des plus importantes questions est le foyer. Leur domicile à eux. Il ne s’agit pas uniquement du côté des finances, qui est, sans doute, important, mais c’est leurs rêves, visions, c’est plutôt un miroir qui reflète leurs personnalités et tout ce dont ils ont rêvé à faire en tant que personnes indépendantes, et que c’est leurs temps de choisir tous les détails.
Par contre, cette indépendance peut être compromise, notamment que les parents y interviennent. En fait, construire un foyer à partir de rien, n’est pas si simple que ça. C’est souvent que les jeunes couples dépendent de leurs parents pour réussir la tâche. Le décor est la dernière étape, d’une longue liste de choses à faire.
Le choix du logement vient en tête de cette liste. Quel quartier choisir, quel étage, quelle superficie et bien sûr quel mode, location ou achat ?
Ce tourbillon de question ne cesse de tourner dans leurs têtes avant même de penser aux couleurs ou aux styles? Et puis arrive cette phase de préparation du logement puisqu’en Egypte, pas tous les logements sont prêts pour y vivre. Il faut donc un fou travail d’infrastructures et mille et une questions.
Cette partie, les jeunes peuvent accepter les avis et l’aide des parents, il ne s’agit pas ici de différents goûts, mais plutôt de principes, le vrai problème, arrive une fois que tout l’essentiel est mis en place et le logement est prêt à être meublé et équipé.
Ce qui est à la mode dans une époque, ne l’est pas forcément dans une autre. C’est un conflit entre le passé et le présent, d’autant plus un conflit de goûts.
Le mariage n’est pas uniquement synonyme de l’union de deux personnes mais plutôt de deux familles. Le fait de choisir des éléments qui plaisent à tout le monde, est un vrai casse-tête, sans oublier le côté financier.
Récemment la flambée des prix touche tous les secteurs, y compris les meubles et les équipements nécessaires pour tout foyer, ce qui affecte à son tour, les décisions des jeunes couples en aménageant leur maison.
En Egypte, plus précisément dans les zones rurales, le transfert des meubles de la nouvelle mariée au foyer prend un caractère festif, une des coutumes et aspect culturel de cette communauté. Cela se fait en une journée, des camions emportant les équipements vont en direction du logement, accompagné par d’autres véhicules, minibus ou aussi des camions, avec les membres des deux familles, les amis et proches, en chantant et lançant des youyous.
Tout le monde fête cette occasion et y prend part également. La jeune femme ne prépare pas son foyer toute seule, toute la famille et amies aident à aménager la nouvelle maison. La préparation de la maison de la nouvelle mariée est une sorte d’art. Il ne s’agit pas d’arranger les choses tout simplement. Il existe des styles pour arranger les objets, c’est plutôt comme la préparation d’une galerie d’art. Les objets doivent être exposés de manière organisé, attirante et montrant la quantité, la qualité et la variété des équipements.
Une des coutumes des zones rurales est de faire montrer la maison, qui est une source de fierté, aux visiteurs qui viennent féliciter les nouveaux mariés après les noces.
Ces habitudes n’existent pas dans les zones urbaines, par contre , la famille et les amies proches peuvent aider à ranger la maison.
Pour les zones urbaines, on tente de demander l’aide des professionnels. Certains couples préfèrent faire le décor, y compris l’achat des meubles, par l’intermédiaire de spécialistes de décor afin de garantir un résultat final satisfaisant.
Toutefois, avec un spécialiste ou non, on remarque la disparition de quelques aspects dans les meubles de la maison, comme le fameux salon doré, qui était une nécessité autrefois. De plus en plus, les jeunes optent pour un décor moderne, pratique et simple.
Par contre, quelques aspects ne sont pas tout à fait disparus, même s’ils font objet de polémiques et comiques sur les réseaux sociaux. Le « Niche », une sorte d’armoire dans la salle à manger qui est en majorité de verre pour montrer la « porcelaine ». Une des choses importantes dans tout mariage les ensembles de plats en porcelaine, qui restent en général, dans l’armoire sans être utilisés, sauf dans certaines occasions et à la présences des invités très spéciaux.
Cette armoire est presque un coffre à trésor pour la femme, qui, pour elle, est un acte illicite de toucher au « Niche », notamment l’époux.
Les préparatifs du mariage, certes, sont un vrai casse-tête, mais pas seulement pour les jeunes couples ou leurs familles, mais aussi les vendeurs qui, parfois, sont victimes de querelles familiales, au temps de l’achat des objets. Cela, bien entendu rend leur mission plus difficile et compliqué.