Par: Ingi Amr
Pour la première fois, une équipe internationale de scientifiques est parvenue à illustrer graphiquement les concentrations mondiales de l’un des principaux polluants atmosphériques connus pour affecter la santé humaine: les particules fines PM2,5. Les “Air Quality stripes” révèlent de nouvelles tendances mondiales en matière de qualité de l’air, selon Sciences et Avenir
En même temps que l’on célébrait la Journée internationale de l’air pur pour des ciels bleus, la fumée des feux de forêt qui ravagent l’Amazonie et d’autres régions du Brésil gagnait les mégalopoles.
Sao Paulo, plus grande ville d’Amérique latine, était lundi 9 septembre l’une des villes les plus polluées au monde, selon la société de surveillance de la qualité de l’air IQAir. Le taux de particules fines PM2,5 avait atteint 69 microgrammes par mètre cube, soit près de 14 fois plus que la limite recommandée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).