A l’heure actuelle, la planète entière est préoccupée par l’économie. Ce terme d’origine grecque qui signifie « gérer la maison », devient aujourd’hui symbole de vie. En temps de coronavirus, tout le monde pense à ce volet davantage : placer son argent est maintenant lié au fait de garantir sa sûreté et sa croissance. Alors, les investisseurs mondiaux continuent à examiner minutieusement et avec zéro risque les opportunités à l’échelle planétaire. Comme d’habitude, les programmes de talk-shows jettent la lumière aussi bien sur les événements les plus importants que sur certains dossiers intéressants sur les plans économique, politique et social. Cette semaine, comme il était bel et bien prévu, les programmes télévisés, les médias locaux, arabes ou encore internationaux avaient majoritairement les yeux braqués sur l’Egypte en raison du déblocage du navire Ever Given et du cortège doré des rois et des reines d’Egypte. Des événements qui ont fait couler beaucoup d’encre sur papier et qui ont attisé l’enthousiasme des présentateurs de télévision. Toutefois, d’autres dossiers aussi importants ont figuré sur les écrans de télévision : les opportunités d’investissements en Egypte.
C’est ce qui a capté l’intérêt de l’animateur Amr Adib. Adib est en général un amateur de chiffres, de statistiques et d’économie. Pour lui, ce dossier est un thermomètre important pour mesurer la vitalité de la société. Dans son programme « Al-Hikaya » ou « l’histoire » diffusé sur la chaîne MBC-Misr (MBC-Egypte) à 22 heures (heure locale du Caire), Adib a mis l’accent sur le dossier des investissements dans le domaine de l’immobilier au Caire. Ainsi, a-t-il reçu à travers l’écran de son programme un analyste économique et grand investisseur pour lui poser la question : si on souhaite investir dans l’immobilier, quelle serait la ville classée comme « Cap de Bonne-Espérance » ?
En effet, la question ne portait pas unique[1]ment sur Le Caire, mais sur l’ensemble de l’Egypte d’autant plus que l’animateur a remarqué que les grands investisseurs sur notre territoire continuent à se développer et souhaitent encore développer leurs investissements et élargir leurs projets dans l’ensemble du Caire et d’autres villes. En effet, les grandes entreprises immobilières cherchent toujours à se tailler la part du lion dans ce secteur. Pour ce faire, Adib soulève une interrogation importante : quel en est le secret ? Quels en sont les horizons ? S’agit-il d’un investissement gagnant-gagnant aussi bien pour les vendeurs que les acheteurs ? Pour répondre à cette question, le présentateur recourt au membre délégué de l’une des entreprises arabes les plus puissantes dans le secteur de l’immobilier et notamment sur le marché égyptien, M. Mohamed Al-Abar. Celui-ci a assuré que le marché de l’immobilier en Egypte est immense. Par conséquent, il est encore prometteur et juteux, notant toutefois que les entreprises doivent faire des efforts réels pour s’adresser aux acheteurs qui prennent une des décisions les plus importantes à cet égard. Puis Adib a posé une question encore plus délicate : « Si je suis investisseur immobilier, où devrais-je placer mon argent ? Où devrais-je acheter si je dois choisir entre Le Caire, Dubaï et Londres ? Al-Abar a répondu sans aucune hésitation : « Au Caire ». Celui-ci a assuré que l’Egypte, notamment au Caire, est le marché le plus juteux, indiquant qu’il est un homme d’affaires et qu’il parle en termes de chiffres.
Ainsi, a-t-il évoqué les éléments les plus influents qui lui ont permis d’émettre cette décision : les chiffres réalisés, la rapidité de vente, le désir d’achat, la confiance des clients. Et de rappeler qu’il y a un facteur pour lequel Le Caire demeure sans concurrence : le volume du marché de l’immobilier. Pour tous ces éléments, Le Caire – et l’ensemble de l’Egypte – sont le Cap de Bonne-Espérance des investisseurs de l’immobilier et tous ceux qui souhaitent devenir propriétaires. Bref, Le Caire demeure la grande « Victorieuse » qui fascine investisseurs et acheteurs et qui sait toujours se tailler la part du lion !