Ne laisser personne à l’abandon. Tel était l’objectif de la Direction politique en adoptant des démarches sérieuses pour assurer le développement durable à tous, y compris la campagne égyptienne. Et donc pour tenir les promesses, il fallait assurer la vie décente et travailler à effectuer une refonte au niveau des villages pour réaliser le développement rural, considéré comme un gisement jusque-là inexploité, au niveau des ressources, des emplois et par conséquent de la croissance.
Dans les zones rurales en Egypte, longuement négligées, l’Etat procède désormais à y encourager les investissements et à y améliorer les infrastructures, afin de créer des emplois décents pour que les habitants ne soient pas contraints de migrer.
Un travail décent et une bonne qualité de vie étant un facteur indispensable au développement durable, afin de sortir les ménages et les communautés ruraux de la pauvreté.
Il s’agit donc de placer le développement de l’économie rurale en tête de l’agenda des politiques nationaux pour trouver des solutions à long terme aux problèmes qui y existaient.
Parallèlement donc à ces méga-projets mis en place dans tout le Territoire, dont entre autres la nouvelle capitale et l’axe du développement au Canal de Suez, le plus important des axes de la réforme étatique, était le citoyen.
Non seulement dans les villes mais notamment dans les villages.
Le Président a fait du développement des villages égyptiens, un projet national géant qui mérite toute attention pour changer la vie complètement dans les zones rurales et y effectuer un élan qualitatif sur tous les plans.
C’est là, un des plus grands projets mondiaux ciblant 50 millions de citoyens vivant dans plus de 4500 villages, et dont les investissements pour leur développement sont estimés à 700 milliards de LE.
Un travail géant doit se faire conjointement entre l’Etat, le secteur privé et les organisations d’action civile pour introduire une vraie révolution dans la campagne égyptienne.